Patrimoine : optimiser son départ et son retour de France.

Parmi nos 600 clients, MAGDAE accompagne près de 80 familles sur des sujets de mobilité internationale.  La grande question récurrente est « comment optimiser son départ et son retour financièrement et fiscalement ?

Parce que la mobilité internationale des cadres dirigeants est aujourd’hui de plus en plus fréquente. les statuts d’impatrié et d’expatrié sont la source d’importants leviers d’optimisation, souvent méconnus voire ignorés, à commencer par les DRH de sociétés.

MAGDAE a développé une expertise pour apporter les clés, traditionnellement réservées à un cercle d’initiés, afin d’optimiser la situation fiscale et patrimoniale de ses clients.

A la base, il s’agit de déterminer avec précision son statut : impatrié, expatrié, résident, non résident…et d’en mesurer les conséquences de façon globale, sur les plans financiers, juridiques, fiscaux et sociaux.

Dans un deuxième temps intervient l’analyse des cas d’exonérations et l’utilisation des leviers offerts par le législateur : impôt sur le revenu (jusqu’à 40% d’abattement via les primes d’impatriation et d’expatriation), plus-values, prélèvements sociaux et ISF (jusqu’à 100% pendant 5 ans).

Nous travaillons en partenariat avec les spécialistes du droit sur les grands leviers d’optimisation, ISF, transmission et investissements et conseillons les Directions des Ressources Humaines. Notre valeur ajoutée est de mettre en œuvre le conseil de A à Z, en agissant comme interlocuteur unique, source de gain de temps appréciée de nos clients..

Il existe des écueils à éviter (sortie de statut, détention de l’immobilier via une SCI, fiducies,…). A ne pas sous-estimer non plus : l’incidence fiscale des dates de changement de statut et les formalités à effectuer autour du départ ou du retour, qui sont nombreuses : fiscales (déclarations et échéances) et bancaires (clôtures/ouvertures de comptes).

Parmi les témoignages de personnes faisant appel à MAGDAE, on peut citer le cas d’expatriés de retour en France exonérant 40% de leurs revenus, ou d’expatriés se constituant un patrimoine immobilier en France exonéré d’ISF, ou encore d’expatriés organisant leur transmission à coût zéro en profitant de leur statut.